Do you need a break ?

J’adore les breaks, les petits ou les grands.
Parfois, une toute petite pause, que nous avons nommée chez CoachingS « un temps de rien », nous permet de nous arrêter. C’est un temps de silence que nous nous accordons avant de reprendre l’activité d’une formation après un bon déjeuner.

Les participants n’apprécient pas toujours ce moment mais au bout du compte, ils y prennent goût.

Nous sommes tous aujourd’hui, tels les lapins d’Alice au pays des merveilles, à courir après le temps.

ALORS STOP, arrêtons le temps … Ah zut ! Nous ne pouvons pas !!!! Mais pouvons-nous le ralentir ? Oui ! je vous le garantis … si vous faites un break.

Un temps de rien !

Pour moi, un break, c’est un moment où l’on se retire de notre vie active : un moment à la campagne mais pas un weekend … Un moment « d’école buissonnière » où vous osez écrire sur votre agenda partagé : INDISPONIBLE, voire mieux sur votre messagerie …

« Je suis absent.e jusqu’au …
Veuillez contacter Pierre D. au : 06 … si vous avez besoin d’une réponse urgente … »

Et là, enfin, on prend le train ou la voiture et l’on s’évade pour un moment de pause entre soi et soi, quelques jours volés à la famille, loin de l’entreprise , déconnecté.e et on souffle, on se ballade, on respire, on flâne … On se disperse ou on se recentre, on s’en fiche de trainer au lit, de se coucher tôt ou tard car il n’y a pas de contrainte.

C’est un pur luxe, que peu d’entre nous osent aujourd’hui … Laissons le père ou la mère de nos enfants prendre le relais car à un moment nous échangerons.

BREAK aussi, pendant le télétravail, un vrai break pour déjeuner et pas un repas sur le pouce devant l’ordi.

Avant le confinement, j’avais pour habitude de faire un break et de partir quelques jours voire quelques semaines tous les 3 mois. Aujourd’hui c’est bien évidemment plus complexe. Cela reste néanmoins, un temps précieux, à s’octroyer.

Alors ? Chiche ?
Fabienne L’Heureux

PS : Le burnout professionnel et le burnout parental ne sont pas des légendes, préservez-vous.